Mimosa dealbata
13,00 € TTC
Appelé Acacia dealbata est un véritable petit arbre, drageonnant,de croissance rapide mais de faible longévité, originaire d’Australie. Il fut importé en Europe dès 1771. Ce mimosa persistant fleurit au printemps, inondant son feuillage de grappes de petites fleurs en pompons jaunes très parfumés. Ce grand arbuste qui peut atteindre 5 m et rustique jusqu’à -6°C lorsqu’il est greffé, et jusqu’à -9,5°C lorsqu’il est franc de pied (semé) comme ce que je propose ! Il supporte bien les sols calcaires et la sécheresse. Il formera un magnifique sujet dans un grand pot, à remiser l’hiver en région froide, ou en pleine terre en climat doux.On le rencontre de plus en plus dans notre région, trouver lui un emplacement protégé du Nord ou proche d’un mur afin qu’il est de l’inertie thermique pour moins craindre le froid.Phénomène très curieux ; le mimosa et très têtu, depuis 250 ans qu’il est en France il n’a toujours pas voulu changé se date de floraison et continue à fleurir en Février-Mars en en même temps que ces congénère resté en Australie.
Informations complémentaires
TYPE D'ARBRE | plantes architecturantes et fixatrice d'azote |
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FRUIT | gousse comestible |
- C’est un arbre en repos végétatif, sans pot, tout juste arraché de la terre à replanter dans un délais court (quelques jours) ou à conserver en jauge le temps de le planter.
- L’avantage des arbres à racines nues est qu’ils ont grandi en pleine terre, il sont donc très rustiques, vigoureux et adaptés à nos régions.
- Ils se plantent uniquement de décembre à mars (repos végétatif)
MISE EN JAUGE : Dans le cas où le terrain n’en autoriserait pas la plantation immédiate, il faut les mettre en jauge provisoirement. Couvrez les racines jusqu’au collet et arrosez. Vous les sortirez ensuite de la jauge au fur et à mesure des besoins de la plantation.
EN CAS DE GEL : Un changement brutal de conditions climatiques peut survenir lors de la réception de votre arbre fruitier. Dans ce cas, entreposez-les dans une cave, un cellier ou un garage non chauffé. La plantation n’aura lieu qu’après dégel. Le gel ayant pour effet de faire sécher branches et racines, vous arroserez d’autant plus copieusement à la plantation.
CONSEILS PLANTATION : Je ne suis pas adepte des trous de plantation faits d’avance car la pluie risque de lessiver la terre mise en tas et adieu aux aliments précieux, nécessaires à une bonne reprise. Prévoir une fouille supérieure d’un tiers de la dimension des racines.
En moyenne, comptez 0,70m par 0,70m d’ouverture par 0,50m de profondeur pour un arbre de plein-vent quart de tige, demi-tige et haute-tige. Pour les espaliers, comptez un peu moins en ouverture et profondeur.
Il n’est nécessaire de remuer de grands volumes de terre que si celle-ci est compactée et si vous jugez qu’elle pourrait présenter un obstacle au bon développement des racines dans l’avenir.
Quand cela vous est possible, mettez en place une couche de fumier de vache bien décomposé disposée au fond du trou, sans qu’elle touche immédiatement aux racines ; cela assurera un excellent départ à votre nouveau pensionnaire.
Respectez bien les différents niveaux de la terre avant de la remettre en place ; la terre de surface, plus riche en éléments fertilisants et en vie microbienne que celle du fond doit rester au dessus de la terre de profondeur. C’est elle qui va pourvoir aux premiers besoins de l’arbre nouvellement planté et qui aussi assurera l’avenir.
Les racines, après avoir été habillées, c’est-à-dire taillées avec un sécateur bien tranchant, libérées des mauvaises blessures causées par l’arrachage, seront embouées, pralinées, immergées dans un mélange boueux assez liquide fait de terre et d’eau. Et ce pendant quelques minutes avant de les installer dans leur trou de plantation constitué de terre fine de surface amendée de très bon compost (deux tiers de la terre de surface mêlée un tiers de compost, mélange effectué préalablement dans une brouette).
Vous noterez à la naissance du tronc, juste au-dessus des racines, un bourrelet qui indique l’emplacement du greffage. En aucun cas celui-ci ne doit se trouver enterré. Vous risqueriez la mort lente du jeune arbre, sur une ou deux années. Un arbre ne se plante pas plus profondément qu’il ne l’était quand il a été élevé en pépinière. Il est facile de repérer ce niveau par la marque laissée à la base du tronc par la terre des pépinières.
TUTORAGE : Un solide tuteur garantira pendant deux ou trois ans un ancrage, une stabilité nécessaire en attendant que les jeunes racines se développent, surtout pour les arbres de plein vent, et un système de palissage, plus particulièrement destiné aux arbres formés permettra de dresser les structures dans les formes désirées. Ce dernier devra le plus souvent subsister toute la vie de l’arbre durant. Retirez tout de suite l’étiquette suspendue. En l’oubliant vous condamneriez une branche ou l’arbre entier à une strangulation certaine. Notez plutôt son nom dans votre livre de bord du verger en précisant bien son emplacement dans le jardin sur un croquis.
ENGRAIS : Pas d’engrais chimique la première année, car un apport en éléments fertilisants violents pourrait occasionner d’importants désordres et provoquer des brûlures aux frêles racines en cours de développement.
PAILLAGE : Prévoyez pour les beaux jours un paillage qui limitera l’asséchement de la terre en période de canicule. La reprise sera meilleure et les arbres nouvellement plantés seront épargnés.